Il suffit de poser la question à ceux qui auraient beaucoup à perdre.
- ils ne mettent pas leur argent dans des supports virtuels boursiers et spéculatifs
- ils achètent du foncier, des oeuvres d'art, de l'or.
- ils se dépêchent de placer leur trésorerie dans des achats d'entreprises concurrente, pour grossir encore et être le dernier survivant.ssibilité pour une banque de dépôt de décréter la dévalorisation des avoirs des particuliers, les dettes souveraines : tout cela rend le système financier fragilissime et que restera-t-il au bout du big crunch? Juste ce qui est "enraciné" dans le concret, le matériel, le réel.
Curieusement, actuellement tout a tendance à se virtualiser : virage numérique, économie internet, suppression à terme de l'argent en espèces (numérisation de toutes les transactions par la carte sans contact, interdiction d'utiliser les billets pour les transactions supérieures à 1000 euros, etc...), comme si il ne fallait surtout pas chercher à matérialiser la richesse.
En plagiant Molière, nous pourrions dire : "cachez cette bulle que je ne saurais voir", ou, comme Ben Sirach le sage : "vanité des vanités, tout est vanité" (au sens de "vain", "creux")
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